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Andréi Nakov, historien d’art

Les travaux et les publications d'Andréi Nakov

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Patricia Railing : mise au point

22 juillet 2018 par Andréi Nakov

Un historien d’art russe et ce n’est pas le premier m’écrit de Moscou en me demandant ce que je pense des « qualifications » et quels étaient les « rapports de de Patricia Railing avec mon travail sur Malewicz » .­­

S’il ne me revient pas d’émettre des opinions quant aux qualifications d’autres personnes, j­­­­­­e me dois de relever des erreurs factuelles ou des contre-vérités.

Mme. Railing a effectivement été mon épouse de 1971 à 1978, notre union ayant tellement battu de l’aile bien avant notre séparation légale du début de l’été 1978, que dès 1976 je lui avais retiré les clés de mon bureau qui était de toute façon séparé de notre domicile conjugal.

En effet, entre 1973 et 1977, Madame Railing, américaine, a traduit avec mon aide certains de mes textes, je lui ai reconnu par écrit ce travail dans les publications concernées.

Tout autre référence à des « collaboration » ou « travail en commun » avec moi relève du domaine de l’affabulation.

Je précise qu’elle n’a jamais travaillé avec moi dans le domaine de la recherche en histoire de l’art moderne en général et celle de Malewicz en particulier et pour commencer, à part son manque d’intérêt pour le sujet, le seul manque de connaissance de langues (russe, allemand ou polonais, indispensables pour ce travail) le lui interdisait.

Depuis l’été 1978 j’ai été en rapport avec Madame Railing uniquement en ce qui concerne nos enfants.

Je tiens à faire savoir que dès le mois de septembre 1978, au cours des premières auditions de divorce devant la Cour de Londres, je me suis opposé formellement, ce qui a fait l’objet d’une décision du tribunal, à ce qu’elle puisse porter ou utiliser mon nom professionnellement ou autrement. Malgré cette interdiction légale, des « expertises » signées « Railing-Nakov » ont circulé entre 1990 et 2010 dans le commerce d’art allemand, suisse et autre, et seule une lettre juridique officielle envoyée par mon avocat à la société de ventes aux enchères en Allemagne a pu y mettre bon ordre.

La mention d’« ex-épouse » qui circule régulièrement dans un certain commerce d’art doit donc être corrigée car elle sonne comme une référence professionnelle ce qu’elle ne doit pas être, la procédure de divorce a débuté en 1978, voilà 40 ans !

Je signale aussi que je suis régulièrement attaqué sur le site de l’INCORM dont Madame Railing, en sa qualité de « présidente », gère les activités et auquel je n’ai été jamais associé de près ou de loin et, enfin, que Patricia Railing a publié à plusieurs reprises sur l’Internet anglais des indications où elle prétend avoir participé en tant que co-auteur (sic !) à mon travail.

Ceci n’est tout simplement pas vrai.

J’ajouterai enfin que mon travail pour la rédaction du « Catalogue raisonné » de Malewicz a débuté 6 mois après notre séparation légale, exactement au mois de février 1979 quand je fus engagé contractuellement dans cette recherche par la maison d’édition PVA de Landau (Allemagne Fédérale). Ces indications figurent aussi brièvement dans l’introduction au « Catalogue raisonnée » de 2002.

Thématique : Divers

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